Assemblée Générale 2018 : retour sur l’année 2017

Posté le par http://ffsaf.fr/wp-content/uploads/2021/09/2018-Groupe-Minsk-bandeau-scaled-1.jpg Andrieux

La FFMSF, créée le 24 janvier 2017, a tout juste un an. Encore petite et en phase d’organisation, les dirigeants des clubs affiliés se sont retrouvés à Champeix en Assemblée Générale pour faire le point sur cette année écoulée et parler de l’avenir.

1. Présentation et vote du bilan moral 2017

Consultez l’annexe 1 : Bilan moral

2. Présentation et vote du bilan financier 2017

Consultez l’annexe 2 : Bilan financier

3. Présentation du budget prévisionnel 2018
4. Propositions d’évolutions des statuts

Consultez le PV de l’Assemblée Générale

5. Élections des personnes souhaitant compléter le CA

Romain Picot est élu membre du CA de la FFMSF pour un an, car arrivé en cours de mandat.

Le Président de la Fédération, http://ffsaf.fr/wp-content/uploads/2021/09/2018-Groupe-Minsk-bandeau-scaled-1.jpg Andrieux, précise alors son rôle et ses missions. Romain Picot, en tant que « Responsable fédéral de l’arbitrage », est chargé de :

  • adapter chaque année les évolutions des règlements internationaux (IFMSF et HMB Soft) dans le règlement français,
  • proposer au CA des spécificités règlementaires françaises,
  • entretenir des relations avec les responsables de l’arbitrage autant côté IFMSF (Alexandr Vasilyev) que côté HMB Soft (Al Askerov), et éventuellement proposer des évolutions des règlements internationaux,
  • travailler à différentes formes de formation d’arbitres français (stage de formation en présentiel, documents d’initiation écrit, page spécifique sur le site Internet de la FFMSF…),
  • réfléchir à un système d’accréditation des arbitres français.

6. Discussions autour de la politique de la FFMSF quant à sa présence sur les événements internationaux

La FFMSF a été présente sur deux événements (Minsk et Prague, cf. bilan moral) en 2017. Elle souhaite bien évidemment poursuivre cette présence, mais se pose la question de la soutenabilité financière de ces participations. Deux fédérations internationales amènent deux fois plus de frais pour les fédérations nationales. Mais nous ne pouvons toutefois pas nous passer de l’une ou de l’autre…

Romain Picot demande alors ce que nous entendons par « événements internationaux ». http://ffsaf.fr/wp-content/uploads/2021/09/2018-Groupe-Minsk-bandeau-scaled-1.jpg Andrieux répond qu’il s’agit des compétitions internationales donnant accès à des titres de champions. La « Dynamo Cup », par exemple, est une compétition internationale intéressante mais qui n’entre pas dans cette définition.

Sur le plan budgétaire, la question porte sur l’équilibre du financement : quelle part incombe à la FFMSF, quelle part incombe aux sportifs ? Il ne faut pas oublier que ces compétitions sont notamment ouvertes aux jeunes (dès 3 ans pour le Championnat d’Europe IFMSF, dès 12 ans pour le Championnat du Monde HMB Soft) et qu’on ne peut pas demander le même investissement financier à un adulte qui se paie lui-même ses loisirs qu’à un enfant qui est dépendant des moyens de ses parents.

La fédération a la charge de sélectionner les jeunes et adultes qui se rendront sur ces compétitions. Elle se doit donc de participer au financement de leur participation. Toutefois elle n’est pas seule à ce niveau et les clubs doivent aussi entrer dans la boucle en soutenant financièrement les sportifs qu’ils présentent aux sélections.

Nous proposons donc le fonctionnement suivant pour cette année :

  • la FFMSF prend à sa charge les frais d’hébergement et de nourriture pendant la compétition (en excluant donc les périodes de déplacement).
  • la FFMSF habille le compétiteur : suivant la durée de la compétition, un ou plusieurs t-shirts FFMSF seront donnés au sportif. Le survêtement « Equipe de France » lui sera prêté pour le temps de l’événement. L’esprit d’équipe étant une valeur importante, le combattant en Equipe de France est prié de porter sa tenue en public (pendant son trajet et sur le lieu de la compétition). A l’issue de la compétition, la FFMSF peut proposer au sportif d’acheter son survêtement.
  • les frais de déplacement restent à la charge du compétiteur. Les clubs sont invités à participer du mieux qu’ils peuvent à ces frais de déplacement.